Comment les institutions gouvernementales peuvent-elles générer des revenus issus du partage d'impression ?

Par le passé, les institutions ont été confrontées à des défis importants lorsqu'elles ont essayé de proposer des services d'impression et de numérisation sans que cela ne pèse sur le personnel et les ressources financières.

Les particuliers ont souvent besoin de payer en espèces, ce qui représente pour beaucoup un désagrément. Ce mode de règlement n'est pas non plus idéal pour le personnel qui doit conserver de l'argent sur place tout en gérant le service d'impression. Par ailleurs, il existe un risque de sécurité lorsque l'on demande à des utilisateurs non vérifiés d'envoyer des pièces jointes par e-mail ou de connecter des clés USB à l'infrastructure informatique d'une organisation.

En parallèle, des avancées technologiques ont révolutionné certains domaines comme la location de vacances ou de voiture. L'économie du partage, qui permet de louer en toute simplicité des ressources physiques via des applications intuitives, est désormais bien connue dans la société. Alors pourquoi ne pas utiliser ce modèle pour l'impression et la numérisation ?

Grâce à la nouvelle solution Canon Print Share Solution, disponible exclusivement sur les périphériques Canon, les institutions peuvent proposer en toute simplicité des services d'impression, de numérisation et de copie de qualité professionnelle au grand public, sans avoir besoin de ressources ou d'infrastructures informatiques. L'enregistrement, l'envoi et le paiement sont entièrement gérés via l'application et les utilisateurs peuvent donc imprimer depuis un ordinateur portable, une tablette, un téléphone ou un e-mail.

En outre, l'argent liquide peut être intégré dans le système si nécessaire, pour aider les personnes âgées ou plus vulnérables et combler cet écart entre les générations.

Du point de vue de la sécurité, les périphériques Canon Print in City sont complètement isolés du réseau d'entreprise dans son ensemble. La plupart des envois se font via l'application et le périphérique supprime tous les travaux non imprimés au bout de 36 heures.

La tarification est fixée par l'institution, qui récupère 100 % des recettes, moins les éventuels frais de transaction des fournisseurs de portefeuilles électroniques. Voici un exemple de panier mensuel d'un service d'impression et de numérisation ad hoc pour un seul périphérique Print in City :

C'est l'institution qui décide de la manière d'utiliser ces revenus supplémentaires. Ils peuvent, par exemple, être utilisés pour compenser le coût d'autres services essentiels, tout en amenant davantage de clients dans les locaux. Ces clients sont ainsi susceptibles d'emprunter des livres, de s'inscrire à un cours ou de prendre un café et manger un gâteau au café pendant l'impression.

Ils peuvent également être utilisés pour financer un nouvel espace de travail collaboratif. Ou simplement pour aider à rembourser des dettes et à améliorer la situation financière à long terme de l'organisation. Ce choix leur appartient, il ne reste plus qu'à saisir l'opportunité.